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Après plus de deux ans de pause, les membres de Szun Waves présentent leur troisième album. Le trio -composé du producteur Luke Abbott, du saxophoniste Jack Wyllie (Portico Quartet) et du batteur Laurence Pike (Triosk/PVT/Liars) - a enregistré Earth patterns à la fin de leur tournée européenne en 2018, mais a mis du temps à trouver sa forme, n'ayant pu se réunir depuis. Le résultat est une sorte de catharsis -un sentiment de libération après une période d'inaction forcée pour presque tous les musiciens. C'est génial, et c'est puissant. Ils en sont ressortis avec des heures de musique, certaines inspirées de leurs concerts, la plupart nées fraîchement dans le studio lui-même, prêtes à être modelées pour donner naissance au troisième album du groupe en cinq ans. Les visuels qui entourent le projet, principalement produits par l'artiste numérique Dom Harwood, ont une approche tout aussi psychédélique et maximaliste.

Découvrez I Am The Moon : IV. Farewell, le 4e et dernier volet du projet de Derek Trucks & Susan Tedeschi's. I Am The Moon est librement inspiré par l'oeuvre du poète Sufi Nizami. Chaque membre du groupe s'est ressourcé pour participer à l'écriture de nouvelles chansons. Une projet studio aussi généreux que le groupe peut l'être sur scène, qui regorge de créativité et de complicité artistique.

Billy Joe Armstrong, le charismatique leader du groupe punk rock Green Day et Norah Jones, la talentueuse auteur-compositeur aux multiples récompenses sont réunis sur cet album de reprises de chansons traditionnelles américaines, inspirées de "Songs ou daddy taught us", album des Everly Brothers, sorti en 1958. Cet album capture l'essence même des harmonies vocales des Everly's pour créer un testament puissant et émouvant de ces ballades traditionnelles, et nous fait découvrir de nouvelles facettes de ces deux artistes.

La musique de cette formation autrichienne est sombre et lumineuse, triturée de bruits électroniques, à la fois downtempo mais d'une tension fatalement émouvante. Intimes, fragiles, ses mélodies font échos à Diamanda Galas, Nico ou Antony & the Johnsons.

Leur nom reste encore à ce jour assez confidentiel et pourtant les new yorkais fêtent en 2010 cette année leurs dix ans d'existence. Il est temps de rendre justice à ces petits cousins pas très éloignés des Strokes avec ce disque produit par Chris Zanz, déjà remarqué aux manettes derrière Mumford & Sons, Passion Pit ou The Rakes.

Co-produit par Tony Berg à Los-Angeles, cet album reprend le modèle pop-folk pour lui donner des nouvelles formes passant du folk-noir-gothique à des passages pop opaques et sensuels. On le compare à Bat for Lashes pour sa sensualité païenne, My Brightest Diamond pour sa voix cristalline d'opéra et Kate Bush pour la beauté des arrangements.

"Cet album me ramène aux origines de ma passion pour la musique, déclare Lenny Kravitz, à ce que j'éprouvais lorsque j'étais au lycée. C'est un vrai disque de rock'n'roll, brut, avec une âme, et qui a coulé de source." Ainsi parle Lenny Kravitz de son dixième album studio. Ses douze morceaux frappent fort sur le plan rythmique et explorent le désir sous toutes ses formes, qu'il soit purement physique ou idéalisé. Ces chansons ne trichent pas, et c'est ainsi que Lenny Kravitz les voulait. Comme à son habitude, Lenny Kravitz joue ici de la guitare, de la basse, des claviers, de la batterie et des percussions. Il a également arrangé et produit le disque, même si, soucieux de ne pas trop le polir, il ne l'a pas surproduit. Craig Ross, qui l'accompagne depuis plus de vingt ans, a ajouté quelques guitares et Tom "Bone" Edmonds, qui a commencé par mixer les concerts du musicien, est l'ingénieur du son du disque. Le trompettiste Ludovic Louis et le saxophoniste Harold Todd, avec qui Lenny Kravitz collabore depuis longtemps, ont joué des parties de cuivres qui remuent les tripes. Cindy Mizelle, Tawatha Agee et James "D Train" Williams chantent les choeurs de "Strut". Pour la touche finale, Lenny Kravitz a fait appel au légendaire Bob Clearmountain. Ingénieur du son qui a travaillé sur "Let's dance" (David Bowie), "Tattoo you" (les Rolling Stones) et "Born in the USA" (Bruce Springsteen), trois albums classiques qui ont influencé Lenny Kravitz et correspondent à l'univers sonore qu'il envisageait pour "Strut"."Je ne savais pas vraiment comment l'album allait sonner jusqu'à ce qu'il le mixe, note Lenny Kravitz. Bob lui a véritablement donné la vie."