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L'auteur nous emmène un jour de mai par mauvais temps, de la terre des monts d'Arrée alors qu'il randonne dans le Tro Ménez Arrée pour une poésie du paysage, jusqu'à la mer qui s'offre à tous les départs aux grands vents universels.
Morlaix est l'objet d'une promenade, observée de ses toits, ses rues et venelle. Au cours de cette balade, il est accompagné par le poète Tristan Corbière.

L'auteur à travers la poésie évoque ses longues balades dans les Monts d'Arré. Dans les landes du Crgaou, qu'il visite durant les quatres saisons, il publie ce recueil de poèmes.
Dans la seconde partie du livre, Jean-Albert Guénégan rend hommage à plusieurs poètes bretons (Hélène Cadou, Glenmor, Paul Alexis Robic...).

Un matin au marché, alors que l'auteur déambule avec son épouse le long des étals, elle emporte un chaton pour le plus grand bonheur de la famille. Quelques instants après, un SMS arrive sur son mobile. Il annonce un attentat à Paris qui va transpercer son coeur de part en part et le chambouler. La vie se doit d'être au-dessus de tout. Il croyait en elle et à la bonté de l'humain mais cette situation le met en plein désarroi. Afin de se ressourcer, l'auteur se retire au carmel de Morlaix et l'île blanche à Locquirec. Avec lui, tout au long de ces pages, vivez avec lui des moments d'espoir et de confiance.

L'auteur raconte, en prose, ses entraînements de cross-country, ses courses de cadets à Pontivy ou Carhaix avant qu'il n'arrive à l'athlétisme et aux cent, deux cents et quatre cents mètres.