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"« RED & BLACK LIGHT» est une ode à la femme d’aujourd’hui et à son rôle fondateur et fondamental pour espérer un avenir meilleur. Les femmes de ma famille ont eu, et ont encore aujourd’hui, une influence incommensurable sur tout mon travail musical. Notamment parce qu’elles m’inspirent considérablement dans leur façon de gérer leur quotidien et celui de leur entourage. Malgré des vies en labyrinthes, complexes et souvent dramatiques, elles portent en elles une force et une stabilité similaires à une forme de transe inébranlable. Elles me donnent l’impression de ne jamais perdre de vue ce qui est essentiel.
Axé sur une esthétique plus actuelle, plus électro, voire pop, cet album est constitué de mes compositions ainsi que d’une reprise de la diva d’aujourd’hui Beyonce." Ibrahim Maalouf

Pour la première fois Izia s'approprie le chant en français et délaisse sa relecture d'un rock ancré dans les seventies pour s'aventurer vers une pop lumineuse et éthérée, aux accents proche du minimalisme cher à The XX. Synthétiseurs enivrants, savants entrelacs de guitares minimalistes, gimmick vocaux aériens, beats hypnotiques, elle délivre un subtil mix entre mélancolie et dancefloor. Elle a travaillé sur cet album en binôme avec Johnny Hostile, fondateur de Pop Noire et réalisateur des albums de Savages ou Lescop notamment.

Le retour très attendu d'Alain Chamfort avec une équipe artistique exceptionnelle (Jacques Duvall, son auteur fétiche aux textes, et Frédéric Lo à la réalisation (Daniel Darc, Stéphan Eicher...), pour son premier disque de chansons originales en 12 ans.

The King's Son est un collectif d'artistes des Caraïbes. C'est en featuring avec Blacko le phénomène urbain de la rentrée, qu'ils présentent leur premier titre «I'm not Rich». Leur musique est un mélange de ragga, de reggae et de pop qui s'explique par les origines variées des membres du groupe.

La tranquillité de la petite communauté de Bollevillage est perturbée par le lancement d'une gigantesque étude sur la société de consommation. Une variété de nouveaux produits farfelus est ainsi proposée aux adultes, considérés comme suffisamment ordinaires pour servir de repère afin de comprendre le comportement de la société en général. Mais Bollevillage n'a rien de banal, et les enfants décident de saboter l'étude pour le démontrer et reprendre leurs droits sur la ville...

Entre soul, pop, musique du monde et funk, le chanteur marseillais est de retour avec un album enregistré à Los-Angeles sous la houlette du réalisateur Mitchell Froom (Los Lobos, Elvis Costello, Suzanne Vega...).

Ce nouvel album inclut une sélection de titres chantés en espagnol, portugais et anglais, ainsi que des reprises inédites en concert de Steve Earle, Leonard Cohen, Bob Dylan, John Lennon, Simon & Garfunkel et Sting.

Cet album n’était au préalable qu’uniquement disponible à la vente lors des concerts de Joan Baez pour les fans Sud-Américains : il avait en effet initialement été conçu pour une tournée en Amérique du Sud en 2014. Il comprend des titres chantés en espagnol (extraits de l’album « Diamonds and Rust in the Bullring » de 1988), ainsi que quelques titres incontournables des concert de la Grande Dame et deux nouvelles chansons en portugais, O'Cangaceiro’ et Ate Amanha/Te Ador. Sept autres des titres présentés sont inédits et ont été captés en concert lors de la récente tournée européenne de Joan Baez : God Is God (Steve Earle), It's All Over Now Baby Blue (Bob Dylan), Imagine (John Lennon), Farewell, Angelina (Bob Dylan), Swing Low, Sweet Chariot (chanté par Joan à Woodstock), Suzanne (Leonard Cohen) et The Boxer (Simon & Garfunkel).

Une belle réunion de titres pour tous les fans de la légende vivante de la musique folk.

Le crissement d'un feutre noir fait écho à des enfants du monde entier qui s'appliquent à faire leur autoportrait. A l'instar du dipositif mis en oeuvre par Georges Clouzot dans ''Le mystère Picasso'', Gilles Porte filme des enfants qui ne savent ni lire ni écrire en train de se dessiner librement ''de l'autre côté'' de la vitre. Elans de créativité, réflexion, panne d'inspiration, larmes, rires, ''Dessine-toi'' donne à partager la grâce de l'enfance (68 min).
En bonus, un second DVD ''Portraits-autoportraits'' composé de 80 courts-métrages : Le réalisateur Gilles Porte a demandé à des enfants, entre 3 et 6 ans qui ne savent ni lire ni écrire, de se dessiner en transparence sur une vitre sans qu'un adulte intervienne, et a confectionné ainsi une galerie de 80 portraits d'enfants, dans 20 pays sur les 5 continents, à l'occasion des 20 ans de la ratification de la Convention Internationale des Droits de l'Enfant. A l'issue de chaque film, le personnage dessiné sur la vitre ''prend vie'' grâce à l'intervention d'animateurs, pour la plupart issus de l'Ecole des Gobelins. Une série de films courts, poétiques, drôles ou émouvants, qui s'inscrit dans un projet multimédia qui comprend aussi un livre-album et des expositions simultanées à Paris et dans plus de 30 villes de France et à l'étranger. (120 min)